SOUDEUR TIG SUR ALUMINIUM, INOX, ACIER CARBONE + QUALIFICATION DE SOUDAGE NF 9606-1/2 (21 heures)

La maîtrise du soudage TIG sur aluminium, acier inoxydable et acier ouvre de nombreuses opportunités professionnelles dans divers secteurs industriels tels que la construction navale, l’aérospatiale, l’automobile, l’industrie chimique, etc. Un soudeur TIG qualifié est essentiel pour assurer la qualité et la durabilité des soudures réalisées sur des matériaux spécifiques

Un soudeur TIG spécialisé dans l’aluminium, l’acier inoxydable et l’acier est un professionnel qualifié dans l’utilisation du procédé TIG (Tungsten Inert Gas) pour souder des pièces en ces matériaux. Voici quelques informations clés sur les compétences et les responsabilités d’un soudeur TIG :

1. Soudage TIG sur aluminium : Le soudeur doit être capable de souder des pièces en aluminium en utilisant la technique TIG. Cela implique l’utilisation d’un arc électrique entre une électrode en tungstène non consommable et la pièce à souder, avec un gaz d’inertage pour protéger la zone de soudure. Le soudeur doit maîtriser les réglages appropriés pour obtenir des soudures propres et esthétiques.
2. Soudage TIG sur acier inoxydable : Le soudeur doit également être compétent dans le soudage TIG sur l’acier inoxydable. Ce procédé nécessite des réglages spécifiques pour obtenir des soudures de haute qualité tout en maintenant les propriétés anticorrosion de l’acier inoxydable.
3. Soudage TIG sur acier : Le soudeur doit être capable d’effectuer des soudures TIG sur des pièces en acier. Cela peut impliquer des soudures sur des aciers doux, des aciers alliés ou des aciers au carbone. Le soudeur doit être compétent dans la préparation des pièces, l’ajustement des paramètres de soudage et l’obtention de soudures solides et durables.
4. Préparation des pièces : Le soudeur doit être capable de préparer les pièces avant le soudage, en effectuant des opérations telles que le nettoyage, le dégraissage, le décapage et la préparation des chanfreins ou des bords pour assurer une bonne pénétration du cordon de soudure.
5. Contrôle de la qualité : Le soudeur doit effectuer des contrôles visuels et, si nécessaire, des tests non destructifs pour vérifier la qualité des soudures réalisées. Cela peut inclure la détection et la correction des défauts tels que les porosités, les fissures ou les manques de fusion.
6. Sécurité : Le soudeur doit travailler en respectant les normes de sécurité en vigueur. Cela inclut l’utilisation appropriée des équipements de protection individuelle tels que les casques de soudage, les gants, les vêtements ignifuges, etc.

La maîtrise du soudage TIG sur aluminium, acier inoxydable et acier ouvre de nombreuses opportunités professionnelles dans divers secteurs industriels tels que la construction navale, l’aérospatiale, l’automobile, l’industrie chimique, etc. Un soudeur TIG qualifié est essentiel pour assurer la qualité et la durabilité des soudures réalisées sur des matériaux spécifiques.

Le soudage TIG (Tungsten Inert Gas) de l’aluminium est une technique couramment utilisée pour souder des pièces en aluminium. Le soudage TIG utilise une électrode en tungstène non consommable pour générer un arc électrique, tandis qu’un gaz de protection inerte, tel que l’argon, est utilisé pour protéger la zone de soudure contre l’oxydation.

Voici les étapes générales du soudage TIG de l’aluminium :

1. Préparation des pièces : Les pièces à souder doivent être soigneusement nettoyées pour éliminer toute trace d’oxydation, de graisse ou de saleté. La préparation peut également inclure l’élimination des bords tranchants ou la réalisation de chanfreins pour faciliter la fusion.
2. Configuration de l’équipement : Un poste de soudage TIG équipé d’une torche TIG, d’un générateur d’énergie et d’une source de gaz de protection est nécessaire. La torche est équipée d’une électrode en tungstène adaptée à l’aluminium.
3. Réglage des paramètres : Les paramètres de soudage tels que le courant, la polarité, la fréquence et le débit de gaz doivent être ajustés en fonction de l’épaisseur du matériau et de la configuration de la soudure.
4. Amorçage de l’arc : L’arc est amorcé en rapprochant l’électrode en tungstène de la pièce et en la retirant rapidement pour créer l’étincelle initiale. Une fois l’arc établi, il est stabilisé en maintenant une distance constante entre l’électrode et la pièce.
5. Fusion et ajout de métal d’apport : La torche TIG est déplacée le long de la jointure de soudure, faisant fondre les bords des pièces et en ajoutant du métal d’apport, si nécessaire, pour former la soudure.
6. Contrôle de la vitesse et du mouvement : Une vitesse de déplacement régulière et un mouvement de la torche TIG sont nécessaires pour assurer une soudure uniforme et de haute qualité. Il est important de maintenir une zone de fusion correcte et d’éviter les mouvements brusques ou irréguliers.
7. Protection du bain de fusion : Le gaz de protection inerte, généralement de l’argon, est continuellement fourni pour protéger le bain de fusion et empêcher l’oxydation du métal en fusion.
8. Refroidissement et finition : Après avoir terminé la soudure, les pièces sont laissées à refroidir naturellement. Ensuite, la soudure peut être nettoyée, meulée ou polie pour obtenir une finition lisse.

Il est important de noter que le soudage TIG de l’aluminium peut être plus complexe que le soudage d’autres matériaux, car l’aluminium a une conductivité thermique élevée et une tendance à former rapidement une couche d’oxyde à sa surface. Une attention particulière doit être accordée au nettoyage, au réglage des paramètres et à la technique de soudage pour obtenir des soudures de qualité